Revenir en cours après plus de 7 semaines à trier les Legos de sa chambre et faire des skypes avec des professeurs qu’on aime pas, voilà le quotidien difficile du petit Timothée. Dans sa ville, pendant cette pandémie, un petit « gang » de 4 élèves s’est lentement préparé à un retour à la normale, notamment en pratiquant des exercices physiques réguliers, ainsi qu’en pratiquant la boxe thaï.

« Nous lui en voulons pas du tout, pour rien d’ailleurs à Timothé, c’est juste que c’est notre bouquet mystère » a expliqué le petit Enzo, qui se revendique comme le dirigeant de ce gang un peu spécial.

Les experts ont récemment qualifié le retour des « gangs des écoles primaires » comme hautement probable, étant donné qu’ils se sont ennuyés durant de nombreux mois chez eux. Cependant, de nombreuses mesures ont été prises afin de limiter leurs actions possibles dans l’enceinte de l’école : fouille systématique du cartable, interdiction des ciseaux même à bord rond ainsi que séparation du groupe d’élèves dans la classe afin de diminuer la communication interne.

« Nous préparons un gros coup, sans vouloir effrayer personne il y aura de la compote sur les murs. » a expliqué le porte parole du gang.

Pour sa part, le jeune Timothée ne s’est pas exprimé publiquement, mais un retour de ses harceleurs à l’école pourrait ne pas améliorer le bilan psychologique du jeune enfant, qui souffre déjà d’une famille sans écoute et d’un chien peu intelligent.

« Je ne suis pas pressé, entre le harcèlement familial, le cyberhacèlement et le harcèlement scolaire. Je crois que je fais une overdose. » a expliqué le jeune, nous lui souhaitons du courage.

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