En période de coronavirus, il faut savoir se contenter de quelques bonnes nouvelles qui nous arrivent. Le décès de Francis Lalanne, la chute du cours du coinbit ou encore la défaite de LREM aux régionales sont autant de bonnes nouvelles nous laissant espoir d’une sortie de crise agréable et heureuse pour cet été. Le secteur de la musique, très touché par la crise, nous apporte également son lot de bonnes surprises. D’après une étude suédoise, la crise du coronavirus nous aurait sauvé de pas moins de 5 tubes de Maître Gims, le spécialiste en musiques afro-soul éclectiques à tendance musique du monde dansantes de style « boum boum tchak ».
C’est une nouvelle contrastée pour moi.
Maître Gims
« Sans faire de jugement de valeur aucun, il faut quand même avouer qu’à chaque fois que j’écoute Bach je jouis et quand j’écoute Maître Gims j’ai un membre de ma famille qui meurt, donc je préfère Bach du coup. » a témoigné le chargé d’étude de l’Université de Goteborg, responsable de l’enquête de grande ampleur « L’appréciation relative de Maître Gims dans les lieux d’amusement des jeun’s ». La fermeture des lieux d’amusement de style collectif à but divertissants, liée à leur faillite générale, a fait chuter la productions de musiques du « Maître » de la pop dansante.
« J’ai produit 5 musiques de moins, maintenant que les boîtes de nuit sont fermées. Mais je vais bien rattraper ça en sortant un album entier et en participant aux Enfoirés. (ndlr, le concert caritatif destiné à aider les artistes vieillissants en leur offrant un tremplin communicationnel) » a expliqué l’homme aux lunettes noires.
Les résultats de l’enquête suédoise montrent que les jeunes préfèrent désormais écouter le bruit de la pluie sur la route chaude d’une soirée d’été, plutôt que les hits de Maître Gims. « C’est une nouvelle contrastée pour moi, qui aime assez la musique, dans la mesure où c’est mon travail à temps plein. »
Le fait est que désormais les restrictions sanitaires étant levées, la réouverture des lieux de rigolade peut s’envisager. Ainsi, les experts de Goteborgue en Aquitaine se sentent inquiets d’une production exponentielle de la part de l’artiste, qui pourrait déséquilibrer le marché de l’amusement et ainsi créer une inflation pouvant entrainer une baisse de la valeur de la musique dans les lieux d’amusement. Une situation que les experts ne préfèrent pas prendre au sérieux pour le moment.
Le cours du Maître Gims a baissé.
La bourse de Paris
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