C’est un événement qui ne laisse personne indifférent. Kobe Bryant a laissé sa trace sur les parquets des Etats-Unis et du monde entier, mais aussi dans une hôtesse de son centre de rééducation en 2003, lors d’une relation unilatéralement consentie.
Attaquant hors-pair, ayant violé bien plus de défenses en zones que de femmes sans mômes, le « Black Mamba » a magnifié la balle orange et inspiré des générations de grands types patauds à faire autre chose de leur carcasse que de remplir les plus hauts rayons des supermarchés.
Les hommages affleurent de toutes parts pour signaler celui qui s’est engagé dans la défense des sans abris. Plus étonnant, c’est le principal syndicat de policiers américains qui s’est, comme Donald Trump, fendu d’un tweet copié-collé sur celui d’Obama.
Cependant, une vague de dépression s’est emparée de nombreux gardiens de la paix. N’ayant pas de responsabilité dans la mort de Kobe, une action d’envergure est envisagée par les policiers américains : ils disposeront d’une balle par chargeur pour pacifier arbitrairement en tirant sur un afro-américain.
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