C’est une décision qui fait polémique. Au micro de Francheinfo, la Grande Faucheuse revient sur son choix controversé de dissoudre Jacques Chirac.

La mort, bonjour ? Comment peut-on vous appeler ?

Bonjour. Oh je ne suis pas trop difficile, tous les synonymes de « mort » et les métaphores me conviennent, tels que « décès », « grande Faucheuse », « ange de la mort » ou encore « une émission de Pascal Praud ».

Qu’est-ce qui vous a poussé à cette décision de dissoudre Jacques Chirac ?

Vous devez le savoir : dans la vie, il faut faire des choix. Dans la mort par contre, vous ne pouvez pas faire grand-chose ! (rires). Non, franchement je choisis mes cibles avec des critères qui ne sont pas toujours compris du grand public, mais là il fallait bien que ça arrive un jour ou l’autre.

Que pensiez-vous personnellement de Jacques Chirac ?

J’ai eu beaucoup de respect pour Jacques Chirac, notamment pour les essais nucléaires dans le Pacifique, une initiative très prometteuse. Mais nous étions en froid depuis son refus de faire participer la France à la guerre en Irak. Alors je l’ai mis en froid tout court ! (rires.)

Après sa dissolution de l’Assemblée Nationale, Jacques Chirac a perdu le soutien de la majorité. N’avez-vous pas peur de perdre vous aussi votre popularité ?

Bien sûr, on ne peut pas maîtriser son image et j’ai déjà reçu de sévères critiques de la FCPE (la Fédération de Ce qui se Passe pour l’Eternité, ndlr). Mais je sais que je peux toujours compter sur de fidèles soutiens pour propager mes idées et partager mes combats, tels que le groupe Dassault, le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale, ou encore le groupe Trois Cafés Gourmands.

Merci pour cet entretien.

Merci à vous, et à très bientôt j’espère ! (Rires.)

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