Encore un projet qui saura libérer des énergies. Jean-Hugues de Meursault est un entrepreneur dynamique et qui ne renonce jamais devant les obstacles. Dans un entretien pour le magazine Challenges, il raconte pourtant les difficultés qui ont failli le faire abandonner, pour des questions de… propriété intellectuelle.
« Le marché du meurtre de minorités racisées est en pleine expansion, et j’ai senti qu’il y avait un créneau à prendre, que personne n’avait encore jamais fait. Je souhaitais créer plus qu’un service, une véritable expérience », raconte notre ambitieux entrepreneur. « Mais lorsque j’ai tenté de déposer un brevet, il m’a été refusé au motif que je volais les idées de la police française ! »
Devant la lettre de refus, Jean-Hugues tombe des nues. « Je ne pensais pas qu’il y avait déjà une unité d’Etat spécialement dans ce but. Je n’ai encore jamais vu ce genre de choses. »
D’ailleurs, je ne vois pas les couleurs !
Jean-Hugues de Meursault
Heureusement, son problème légal va pouvoir trouver une solution simple. « J’ai pu obtenir un entretien avec le ministère de l’Intérieur. Grâce à mon talent de persuasion, j’ai pu obtenir le nom de « Gendarmerie nationale« . Bien sûr, en contrepartie, je me suis engagé à fournir aux fonctionnaires de la sécurité des armes adaptées à leurs besoins autant qu’à leurs compétences, telles que les portières de voiture. »
C’est donc un accord win-win qui a pu être signé par ce sacré roublard de Jean-Hugues avec ce petit malin de Christophe Castaner. Mais notre ambitieux entrepreneur ne s’arrête pas là. Ses prochains objectifs ? « Imaginer une manière de séparer les pauvres des riches, par différents dispositifs d’humiliation policière et d’urbanisme défavorisé. Je l’appellerai : le plan Banlieues. Ca sonne bien non ? (rires). » On lui souhaite une belle aventure et de beaux dividendes.
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