Alors que depuis deux semaines les intenses feux de forêt embrasent l’entièreté du pays au 10 000 kangourous, les services d’urgence sont à pied d’oeuvre pour empêcher la montée des eaux océaniques et empêcher le continent de couler.

Au sud, c’est le parc national des Didjeridoos qui est actuellement en proie aux flammes, défendues par les boas et quelques syndicalistes. Les familles les plus pauvres essaient d’arrêter ou au moins de ralentir l’incendie en urinant sur les flammes, au risque de brûler leur kiki, ou encore de jeter de l’Ice-Tea bon marché acheté à moins d’un euro le litre.

« Nous sommes à cours d’idées pour arrêter l’incendie : nous lui avons envoyé les blindés, enlevé ses retraites, enlevé sa liberté d’expression. sincèrement nous avons tout essayé, même de souffler dessus, rien n’y fait. » ont expliqué récemment les pompiers de Kangourocity sur l’antenne de CBS News.

Un nouveau départ d’incendie vers Melbourne a été déclaré hier matin, alors qu’un jeune cantalou en vacances en Australie a tenté de déclarer sa flamme à un koala dans le parc de Colonitown, la flamme s’est propagée et a incendié 2000 autres hectares. Cet incident a réveillé les tensions diplomatiques entre France et Australie, l’ambassadeur Australien en France ayant déclaré

« Ces bouffeurs de grenouilles viennent d’allumer la mèche de la discorde, si on avait pas un incendie à régler et tous les animaux les plus dangereux de la planète à tuer je vous aurais bien foutu sur la gueule. »