Aperçu à Toulouse en plein centre-ville par de nombreux passants, Benoît Hamon tenterait la technique de la dernière chance pour attirer les regards des médias et faire ainsi remonter ses intentions de vote pour les élections européennes de demain.

« J’ai tout d’abord cru à une banale attaque au colis piégé, mais ensuite en regardant de plus près j’ai vu que des mains et des pieds sortaient du carton. C’est à ce moment là que j’ai reconnu Benoît Hamon, dans le carton ça sentait la sauce algérienne et le Kebab comme ils le font à Béziers. J’ai tout de suite pris ma fille par la main et lui ai demandé de courir avec moi. Je voterais RN maintenant c’est sûr. » nous a confié une des victimes de cet énorme colis colis électoral, qui n’a pas eu l’effet escompté.

En tournée française dans le but de promouvoir son parti Génération.s, Benoît Hamon est comme Jean-Luc Mélenchon un homme qui aime innover et casser les codes traditionnels de la communication politique, en filmant tantôt en live sur Facebook, corrigeant l’affiche électorale d’Emmanuel Macron sur Snapchat ou encore écrivant « Macron m’a tuer » sur la gare de Bonzon-La-Vieille.

Le parquet antiterroriste de Toulouse est directement intervenu et Benoît Hamon, classé espèce en voie de disparition, a été relâché en forêt de Gruau en début d’après midi avec François Asselineau et Philippe Poutou, deux derniers spécimens de leurs espèces, sans possibilité de reproduction.