C’est un choc pour cette tempête, qui a traversé contre vents et marées l’océan pour rendre visite à la cousine Mistralla, habitant à Aix-en-Provence.

Je me sens dévasté

La tempête Miguel

Parti il y a quelques semaines de cela du Mexique, d’où elle vient originellement, la tempête Miguel a dû affronter dans un premier temps une grande solitude dans l’océan. « Quand je suis parti, je n’étais qu’un peu de brise et d’écume dans les eaux tièdes du golfe du Mexique, ma mère m’appelait encore  » Miguellito »  » nous a raconté Miguel dans une entrevue exclusive. « Quand je suis arrivé sur les côtes Françaises, on m’a dit que j’étais de trop, que je n’avais pas de papiers en règles et que j’étais trop bruyant, pourtant je ne voulais qu’aller voir ma cousine à Aix, elle s’appelle Mistralla et souvent elle me fout des vents. »

Les garde-côtes sont intervenus, avec des grands panneaux indiquant dans quelle direction Miguel devait s’orienter. « Nous sommes intervenus sans violence, mais il nous a fallu longtemps discuter avec lui pour qu’il aille en direction de l’Angleterre alors qu’il ne parle pas un mot d’anglais. Mais, bien qu’il soit un peu caractériel, il a su entendre notre message et changer de route. » nous a partagé un des garde-côtes.

« C’est à regret que je me suis orienté vers Stonehenge que je ne connaissais pas, en passant par le Mont-Saint-Michel. J’avoue que j’ai été déçu de ne pas pouvoir aller saluer Mistralla, mais une prochaine fois je la verrai, d’autant plus que je ne suis pas déçu du tout car je ne connaissais pas l’Angleterre. »

J’espère que j’ai pas trop dérangé, je voulais juste passer voir ma cousine pas inonder des maisons.

Miguel

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