Un témoignage choc sur le président français Emmanuel Macron qui révèle un peu plus la part de génie commercial qu’il possède, indispensable à la diplomatie Internationale.
C’est une histoire peu banale que nous a confié cet homme qui était élève au Lycée de La Providence avec celui qui allait devenir le plus jeune président de la Vème République. La scène se passe en 1994 et le jeune Emmanuel croque déjà la vie à pleines dents, les cheveux aux vents.
Je me souviens que cela se passait pendant un cours de Mathématiques et Algèbre, j’étais dans la même rangé que lui et la fermeture éclair de sa trousse était restée malencontreusement coincée. Il avait besoin de quoi écrire pour noter le cours et s’était retourné vers moi « Hey machin, passe un stylo vite ! ».
Élève anonyme et serviable.
Et c’est ainsi que notre bon samaritain n’eut plus de nouvelle de son fidèle stylo pendant plusieurs mois, l’élève Macron était parti à la hâte au cours suivant, cours de français et théâtre, dont l’enseignante deviendra plus tard sa première et seule dame.
Tout aurait pu se terminer là, d’autant que le jeune Emmanuel fut contraint de changer d’établissement scolaire par ses parents souhaitant l’éloigner de cette enseignante qui était peut-être trop proche du jeune éphèbe. Mais l’année suivante, notre brave source anonyme se retrouva à nouveau sur le chemin du futur président, lors d’une compétition sportive entre lycées de la région.
Le hasard fit que les deux camarades se retrouvèrent en train d’arbitrer des matchs de badminton et notre bon samaritain n’avait plus de stylo pour noter les points, reconnaissant son camarade de classe futur président il lui lança « Ça va Manu ? Tu n’aurais pas un stylo pour moi ? ». C’est alors que Emmanuel sorti de sa poche le stylo providentiel, mais dont il avait également besoin pour la compétition. Après d’âpres négociations ils tombèrent d’accord pour que le stylo soit cédé pour la modique somme de 99 Francs, c’est lorsque notre témoin récupéra l’objet convoité qu’il reconnu les traces de dents qu’il avait laissé dans le capuchon l’année précédente. Il avait enfin récupéré son stylo ! Contre de l’argent, mais c’est un investissement, surtout quand on connait le destin riche en affaires que connu le précédent possesseur de ce stylo !
« Je suis heureux de l’avoir récupéré, c’est un bon souvenir ! » s’exclama notre homme, heureux d’avoir aidé la France.
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