Le constat est sans appel, les routiers sont en très grande partie responsable de la recrudescence des accidents de la route en 2026. Ainsi, le ministère des transports et de l’acheminement des volailles a décidé de passer à l’action pour une sortie de crise rapide.

« C’est désormais chose faite » se félicite Vanessa Roue, porte parole du ministère. Alors qu’une première esquisse de loi vient d’être soumise au parlement ce matin.

Afin de fluidifier le trafic routier et ainsi de désengorger les aires d’autoroute où les camionneurs stationnent, le ministère main dans la main avec le secrétaire d’Etat dédié au sommeil et au vomi ont décidé de tester dans plusieurs régions le « sommeil contrôlé » au volant.

Ca peut paraître risqué, mais pour des professionnels de la route c’est normal et ils le font déjà.

Didier Dorpa, routologue

Ce sont quelques 4000 conducteurs routiers qui pourront dès la semaine prochaine tester de façon légale la conduite en état de semi sommeil semi éveil (enfin en dormant quoi), afin de leur permettre des se reposer pour ensuite conduire plus prudemment. Ainsi, les véhicules ont été équipés spécialement de glissières de sécurité intégrées, tout comme d’un klaxon automatique pour prévenir de la venue du poids-lourd.

Cette expérimentation s’accompagnera évidemment d’un suivi chiffré par des médecins et les pompes funèbres locales afin de constater l’éventuelle baisse du nombre d’accidents. « Nous ne faisons que suivre ce que les pays nordiques font déjà depuis 10 ans avec la conduite sous hypnose ou encore sous stupéfiants, les résultats portent leurs fruits » explique Didier Dorpa, optimiste sur l’idée que ce n’est pas une mauvaise idée évidente.

Comme beaucoup d’accidents viennent du manque de sommeil des routiers, ont a décidé de passer à l’action.

Secrétaire d’Etat dédié au sommeil et au vomi

Plus de 200 routiers ont donc désormais déjà été formés pour la conduite en état de sommeil, et les autres personnes le seront d’ici septembre prochain.

« L’objectif est que tout le monde se sente plus en sécurité sur la route, et que le nombres d’accidents liés à la fatigue diminuent. Les laisser conduire en se reposant est l’idée logique que nous avons voulu tester avant de la mettre en pratique dès début 2026 normalement. « 

Quitte à ce que les gens ne meurent plus du manque de sommeil, ils pourront mourir dans leur sommeil, « un soulagement pour leurs proches de savoir qu’ils mourrons en faisant ce qu’ils aimaient le plus ».