Alors que de nouvelles preuves de la lourdeur de Gérald Darmanin, qui atteindrait maintenant 400 tonnes par sms, viennent d’être dévoilées par Médiaporc, l’enquête que mènent 66 millions de Français sur la personne de Gérald Darmanin vient de s’approcher doucement d’une conclusion intéressante.

« Concernant les faits, c’est à la justice de trancher, qu’on se le dise bien. Cependant pour ce qui est de fautes d’orthographe dans ses sms, c’est au jury populaire de rendre un verdict strict et impartial concernant cet homme . C’est choquant, tout bonnement effarant de voir un politicien d’une telle envergure faire des fautes aussi basiques de Français. » a expliqué un homme blanc avec un avis.

Les sms de Gérald Darmanin n’ont pas mis en lumière la banalité du harcèlement au sein des classes politiques françaises, mais cependant ils ont permis à bon nombre de personnes de se rappeler que « Bonsoir tu peu m appeler » n’est pas une phrase correcte, tout comme « Jaimerai que tu me rappelles sil te plais« . Alors bien évidemment, il se pourrait que d’après la justice ce soit également du harcèlement, mais c’est avant tout un français de bas étage que Gérald exerce avec ses conquêtes multiples.

« Qui sommes-nous pour juger si harcèlement ou pas ? » nous explique un autre homme blanc avec un avis, « le principal est de constater que dans les hautes instances du style ENA et compagnie ne sont plus capables de former des hauts fonctionnaires qui parlent Français. J’ai aucun souci à payer des députés et ministres 8000 euros par mois du moment qu’ils savent aligner 6 mots sans faute et arrivent à harceler dans que ça entache mon prochain vote aux législatives, c’est tout ce que je veux.« 

Les sms d’un Gérald en grande forme

Alors harcèlement ou pas, fautes ou pas, la question serait plutôt « est-ce qu’il n’y a pas trop d’hommes blancs entre eux dans les hautes instances gouvernementales, créant un climat propice au harcèlement et aux abus de pouvoir en tous genre ? « , ou plutôt comme un autre homme blanc nous l’a expliqué « c’est pas Gérald le problème, c’est l’imparfait . »