A Paris, alors que les chiffres autour des cas de contamination du coronavirus étaient passés dans le vert, ceux-ci viennent tout juste de repasser les seuils critiques au sein de la capitale. Notamment liés au retour à Paris des parisiens partis en province profiter des grillons et de la bière peu chère, ceux ci ont pour beaucoup ramené le coronavirus dans des zones qui n’étaient plus contaminées comme le 93, plus en proie désormais à une crise au sein de sa BAC.
Cette augmentation, bien que faisant le malheur des victimes, fait cependant également des emules. Simon par exemple, 38 ans, se réjouit de l’augmentation du nombre de cas.
« La mort des autres me réjouit en général, sauf si c’est mon employeur et qu’il ne peut pas continuer à me payer décemment après son décès, ou également si c’est ma mère et que je n’ai pas encore été procréé ce qui pose problème. Le décès des parisiens par le coronavirus ne me pose par exemple pas du tout problème étant donné que ça libère des logements et que ça fait par la même occasion moins de cons dans le métro à s’entasser comme si c’était du bétail. Bon, je le prends aussi mais c’est pas la même. » a expliqué le jeune homme, visiblement contrarié par les paroles qui l’avaient lui même placé en situation complexe.
D’après un sondage de France Culture pour l’IFIP, plus de 167%* des Parisiens en ont rien à faire de la mort des Parisiens, et plus de 239%** se disent favorable à une mort avec souffrance de tous les Parisiens, si possible par strangulation avec mort lente et définitive.
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