Après des années de rumeurs et de mensonges sur l’existence possible d’un chien qui pèterait à la place de papa, les scientifiques ont enfin réussi à mettre en avant son existence grâce à l’accélérateur de particules du CERN installé à proximité de Genève, à la frontière franco-suisse.

Le défi était de taille : il fallait pour les 14 membres de l’équipe F.A.R.T (Fond Alsacien de recherche très poussée) prouver l’existence, jusqu’ici non démontrée, d’un chien universel qui pèterait à la place de papa, avec pour base seulement des suppositions et la théorie des prout mise en évidence par Einstein. « Il fallait prouver que dans chaque habitation il y avait un chien qui sortait une masse de gaz conséquente à la place de mon papa, j’y ai pas cru en premier abord, mais l’expérience du chien, du papa et de la bière ont réussi à démontrer celà. C’est un gros pas en avant pour l’accélérateur de particules qui pour le moment ne servait pas à grand chose. » nous a confié Gerhard Müller, scientifique strasbourgeois.

« L’expérience C.P.B (ndlr : chien papa bière) est un réel succès, l’accélérateur a, après quelques essais, montré que le chien qui pétait à la place de mon papa était un petit Pug, petit chien à la mode et dont la passion est en effet de péter à tout va. » a témoigné le directeur du CERN. pour sa part, le comité international des papas s’est dit soulagé par cette nouvelle, montrant enfin qu’ils ne mentaient pas.

Le prochain défi de taille sera désormais pour le CERN de montrer que papa ne dormait pas devant le film, tandis que les images et les témoignages montrent le contraire. Une enquête qui s’annonce difficile.