Comprendre que la France et la Chine sont en concurrence pour énormément de thèmes comme la démocratie ou les maladies infectieuses est une chose, mais se lancer dans une course effrénée à l’hôpital en est une autre.
C’est le pari fou que s’est lancé le président de la république de droite Emmanuel Macron, également prince d’Andorre et éleveur de béliers dans le Béarn. Pour quoi faire ? Montrer que « la France est une nation de destructions : après les retraites, l’éducation et la santé des Français glyphosatés, désormais je souhaite montrer qu’il y a rien de moins fragile que la santé de Gérard Larcher et l’hôpital public » a expliqué le président, confident, aux journalistes.
Je n’ai rien contre l’hôpital public, je souhaite juste le détruire au plus vite pour le privatiser.
E. Macron
« La Chine nous a provoqué en montrant qu’elle est capable de monter un hôpital public en quelques semaines. Nous nous devons de faire mieux malgré nos faiblesses (ndlr : il parle du marché du travail trop rigide) et leur prouver que nous pouvons faire mieux qu’eux, cela en leur montrant notre capacité à détruire un système hospitalier efficient et moderne en moins de 9 jours. » a conclu le président en conférence de presse.
Dès l’annonce, ce ne sont pas moins de 500 pelleteuses destructrices et 600 hélicoptères à defragmentation nucléaire qui se sont dirigés vers les premiers 200 hôpitaux de France pour débuter la destruction, en présence de Xi-Jinping et Edouard Balladur au deuxième rang. La destruction sera retransmise sur 356 écrans dans les plus grandes villes comme Toulouse, Bordeaux et Villiers-sur-Pondur.
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