En plein scandale concernant la vente de la branche des turbines d’Alstom au géant américain General Electric, relevant un caractère stratégique la France, le président s’est encore fendu d’une déclaration dont il a le secret.
En effet, ce sont les turbines de Belfort qui composent une partie importante des centrales nucléaires françaises, responsables de 80 % de la production électrique française.
L’affaire Pierucci, nom du cadre d’Alstom incarcéré aux Etats-Unis, avait déjà fait grand bruit et le président, alors secrétaire général adjoint de l’Elysée, n’avait pas réagi.
Mais suite à la convergence des luttes entres les gilets jaunes du territoire de Belfort, et les victimes du plan social de l’entreprise américaine, le président, en vacances visitant la cave d’un vigneron provençal, a rappelé un principe simple
L’état ne peux pas tout, et les affaires sont les affaires !
E. M.
L’affaire aurait pu s’arrêter là, mais c’était sans compter sur le bon sens du président.
En plus vraiment je suis désolé, mais le vin des Vosges c’est pas possible ! Qu’ils viennent prendre des cours ici, ou les vignerons sont inspirés, et, on va pas se mentir, le temps est bien meilleur.
El Presidente
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