La psychose grandi. Après les premiers aveux de Xi Jingping sur les manquement chinois en termes de précaution, ce sont les Italiens qui prennent des mesures.

Déjà 3 morts, et 130 contaminations avérées. La crise couve du côté transalpin. L’Union Européenne pense à des dispositifs de fermeture de frontière. Les laboratoires pharmaceutiques italiens envisagent des vaccins à base de distillat de parmesan rappé. Des décoctions de pâtes à l’ail et à la morphine sont en test pour les phases palliatives des patients ne présentant plus d’espoir de rémission…

Alors que le gouvernement semble dépassé, c’est du côté des institutions académiques que l’on pense avoir trouvé le remède miracle.

En effet, la contamination du coronavirus se fait essentiellement par les voies respiratoires.

Nous avons décidé de nous appuyer sur les forces de la nation italienne : ses mains.

Gianluca di Parlimanilla, académicien et mime

Ainsi, un décret de l’ITALIE (Institution de Tempérance Appliquée de la Langue Italienne Élargie) vient de paraitre au journal officiel.

Il stipule que « toute personne ne portant pas de masque et s’exprimant par la voie orale, sans justifier de la remplaçabilité de ses référentiels signifiants sonores par des gestuelles simples ou d’un niveau de complexité simple sera condamnée »

« Celle-ci consistera à se nourrir, le temps de l’épidémie, de jambon espagnol industriel non-AOP et de comté fruité 4 mois d’affinage max sur du pain de mie à l’huile d’arachide ».

Un sentence exemplaire.

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