C’est un choc pour toute la profession d’écrivain. Il n’avait parlé de sa passion pour les fillettes que dans des cercles privés, avec de bons amis et jamais sans rappeler son affection pour ces chères têtes blondes.
Bon il y avait bien quelques caméras, mais je n’ai jamais rien compris à la technologie.
Gabriel Matzneff, écrivain qui aime à coucher…sur le papier
Le prix Renaudot 2013 préparait pourtant l’adaptation de son livre « Séraphin, c’est la fin » en film, et en exclusivité avec Marc Dorcel.
Malheureusement pour lui, l’équipe de tournage a insisté pour n’embaucher que des actrices majeures. Gabriel Matzneff a alors suspendu le projet.
C’est un scandale, une honte ! Piétiner l’héritage d’une oeuvre littéraire telle avec des choses aussi futiles que le « consentement »…
Guillaume Durand, journaliste bien introduit…dans le milieu littéraire
Mais en 2019, coup de théâtre, sous le feu des projecteurs après la sortie du livre de son ancienne « conquête » et directrice de la maison Julliard Vanessa Springora, ce Don Juan des bac à sables relance le projet afin de toucher les droits d’auteur nécessaire à payer son avocat.
Peine perdue, il est condamné à vivre en maison de retraite pour vieux riches. Mais il ne se laisse pas abattre « Il faut s’adapter à l’air du temps, finalement. Je suis condamné au pire. Mais ici j’ai la fibre ! Et maintenant que je me suis formé aux réseaux sociaux, je peux revivre ma passion de pédophile… Certes c’est par correspondance mais c’est toujours ça »
Grâce à cette impunité, il prépare d’ailleurs une nouvelle série de chroniques pédagogiques destinées à lutter contre la fracture numérique des personnes âgées : « Papy sur TikTok = Papy pas toc-toc »
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