Canicule : Marine le Pen appelée d’urgence pour brasser de l’air 

C’est un impératif que les pompiers de Toulon ont demandé ce matin aux dirigeants du RN, afin de faire passer cette vague de chaleur : faire venir la présidente au plus tôt dans le sud de la France.

« Nous avons besoin d’une femme comme elle capable de faire des heures de discours sans fond, et surtout capable de nous rafraîchir tous pendant ce long été qui sera sûrement le plus chaud de la décennie » nous a raconté hier un des pompiers de Toulon, qui nous a également partagé l’origine profonde de son idée de génie.

Chacun peut prendre ses défauts et les transformer en chances, c’est l’idée que j’ai eue.

Dylan Maillet, pompier volontaire de Toulon

« On m’a souvent dit quand j’étais au collège de primaire en grande section que j’étais pas le plus con de l’équipe et que j’allais sûrement aller loin en marche arrière. Ainsi, je pense que j’ai fait mon boubou de chemin et que l’idée simple que ces politiquards puissent brasser de l’air pour le peuple va nous permettre de supporter plus simplement l’été qui arrive et s’annonce rude. »

Sa proposition choc ? Mettre des hommes et femmes politiques sur des mâts d’éolienne afin de leur permettre, à contrario des éoliennes, de faire passer un vent agréable dans nos villes et campagnes afin de rendre cette période de canicule plus supportable.

« Nous savons que c’est durement réalisable, non pas techniquement, mais plutôt car les politiques ne sont pas des proies faciles. Il faudrait arriver à en attraper deux trois avec des niches fiscales piégées par exemple, puis arriver à les faire se reproduire pour former une meute de 50 politiciens par exemple. Ainsi, nous pourrions commencer à les dresser et à leur faire faire des grands discours durant lesquels ils feront des gestes immenses et ainsi rendront de la fraîcheur à ce pays. Avec un collègue nous avions simplement pensé à leur faire partager des idées fraîches, mais à cause de la formule de l’hypoténuse du col du fémur pré-pubert c’est impossible génétiquement. » nous a expliqué Marc Dud de l’institut de Toulouse des énergies nouvelles.