Brigitte Bardot est décidément toujours la première au chevet des espèces en danger, même en 2020 où elle vient de dépasser la barre des 220 ans et 500 rides. Le pangolin, première victime de ce coronavirus mais également déclencheur est depuis quelques semaines un petit animal piquant adorable, mais menacé par des abandons massifs sur le bord des balcons des appartements.

Source du coronavirus, le pangolin est désormais en France métropolitaine très souvent abandonné par les propriétaires, qui le voient désormais comme une menace à l’équilibre de leur famille et de leur foyer. Laissés le plus souvent sur la fenêtre ou encore sur le palier de l’étage de leur appartement, les pauvre bêtes ne trouvent pas de fourmilière pour se nourrir et se mettent en boule pour mourir en toute tranquillité dans les heures qui suivent, dans la tristesse aussi grande qu’une chanson de Cabrel un soir gris dans les corons de Germinal.

Les pangolins ne doivent pas être les victimes collatérales de notre connerie humaine.

Brigitte Bardot

« Alors déjà on ne savait même pas que de nombreux foyers français avaient un pangolin étant donné que nos habitats urbains ne possèdent pas de fourmilière (hormis si ils ont une artificielle), mais je trouve horrible de condamner une pauvre bête comme ça à cause de leur mauvaise image. Ne les abandonnez pas et fabriquez une fourmilière si votre pangolin ne va pas bien et achetez des fourmis dans un commerce pour leur faire vivre cette crise le plus simplement possible. » a expliqué Brigitte Bardot aux micros de Science Franche.

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