C’est une enquête sans précédent sur la taille moyenne des jupes qui a eu lieu ce samedi sur Reims afin de déterminer à partir de quelle hauteur de genou on peut considérer une jupe comme « putassière ».
C’est une enquête longue et minutieuse qui a permis de révéler la hauteur de cuisse conseillée par le conseil des masculinises dirigeants de femmes (CMDF), en examinant près de 200 putes de toute origine dans le sud de la France.
Michel Richard, président de la CMDF
Ainsi, c’est la fin d’une longue procédure dans la ville de Toutedéput dans le département du Lot, où un certain monsieur X a été accusé de triple viol sur Tatiana Grazianni (nommée « la pute » dans le rapport de police), et s’est défendu avec son avocat de l’agression en expliquant les « habits peu dissimulateurs de la jeune femme qui rappellent les heures les plus sombres des épisodes hentaï végétaliens non censurés diffusés sur le dark-web ».
Par la suite, le jury a requit une enquête indépendante sur l’habillement de la jeune femme, et la comparaison de cet habillement à Marianne, Roselyne Bachelot, mais également Jean-Marie Le Pen et 4 lézards en Ardèche. Additionnellement, un échantillon témoin de 200 femmes a été étudié pour comparer la longueur moyenne de leur jupes par rapport à la longueur des kilts en Bretagne, révélant que monsieur X avait bien raison quand à l’habillement de la jeune femme.
C’est un pas en arrière immense pour les kilts Bretons car cela signifie qu’on pourra également demain se faire traiter de pute alors que tout ce qu’on fait c’est jouer de la bombarde et boire de la triple tranquillement.
Loïc Duquenek
La ministre dédiée aux droits des femmes dénonce une décision « juste, mais encore trop peu répandue en France, un jugement exemplaire pour l’habillement qui empêchera le port de leggings aux femmes qui ne portent pas de sous-vêtements. »
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