La crainte d’une crise sanitaire planétaire était jusqu’à maintenant un tabou dont tout en chacun s’était caché, que même les officiels n’ont avoué qu’à demi-mot. La crise de la pandémie mortelle internationale de la mort qui tue est désormais une réalité bien sordide : des dizaines de milliers de morts, la moitié du globe confinée chez elle et les conséquences commencent à peine à se faire ressentir.
Ne vous inquiétez pas, on part faire… euh… des études géologiques… euh.. d’une colline sur mars.
Le directeur de la NASA
« Notre départ précipité ne coïncide absolument pas du tout bizarrement avec un point de non retour pour ce qui est du corovnavirus, Covid19. Non, nous partons sur une mission non planifiée à 7 fusées pour aller étudier je crois des collines du sud ouest de la capitale de Mars, oui, euh on est 200 à partir oui. AHAHAHA oui ça pourrait faire une bonne population pour coloniser une planète AHAHAHAHA pourquoi cette remarque. Tiens j’ai un rendez-vous zut ! » a expliqué Mike Spenser, directeur général de la NASA qui part également sur Mars.
Les 7 fusées qui sont parties ce matin de Cape Canaveral n’ont pour le moment pas de date de retour planifiée, les experts ayant expliqué qu’il était dur d’anticiper le retour car » euh… les billets de retour sont pas encore disponibles sur le site d’Easyjet ». Une explication comme une autre.
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