Il est, pour les experts du ministère du travail, « évident que le stagiaire et la photocopieuse partagent plus que certains chromosomes, ils sont intimement liés au plus profond de leur être. » ont déclaré deux proches de la ministre.

La découverte a été faite par deux experts du travail, en coopération avec le centre européen d’étude des mollusques et crustacés de Lisbonne. « Nous avons étudié beaucoup d’espèces de crustacés comme le homard nain ou encore le stagiaire français, et ce qui nous a choqué avec le homard français est sa similarité génétique avec la photocopieuse ». Cette similarité est la preuve irréfutable de l’adaptation des stagiaires sous-payés à leur environnement. « Ainsi, il faut savoir que le sang du stagiaire est composé à 89% de café et à 4% d’encre de photocopieuse. »

Le stagiaire reste une espèce peu connue par la science classique, mais fortement étudiée par les spécialistes du domaine des mollusques. « Sa similarité avec les Bernard L’Hermite nous a mené sur la voie d’un développement commun, on imagine que les stagiaires existent depuis l’ère préhistorique, puis sont apparues les photocopieuses et l’espèce s’est modifiée en fonction de son environnement. « 

Ainsi, l’apparition de la photocopieuse a considérablement changé la vie des stagiaires. Auparavant chasseurs-cueilleurs, se cachant dans les grottes et habitués à vivre seul, ils se sont intégrés au tissus social de l’entreprise et ont commencé à communiquer avec leurs congénères. Fini la chasse et la pêche, maintenant le stagiaire a commencé à réussir à se nourrir de produits préparés comme le café soluble ou les petit-beurres. Son développement à l’ère du numérique n’est pas fini, son ADN semblerait également s’adapter et ses doigts deviendraient plus longs pour mieux taper sur le smartphone, une évolution majeure.

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