C’est une des histoires populaires les plus connues et haletantes de France dont un nouvel épisode vient de commencer dans le Tarn, où un professeur de français avait signalisé sa disparition il y a déjà 67 ans de cela, il est désormais âgé de 107 ans.

Ornicar, personnage de légende dont beaucoup de personnes même dans le Tarn doutent de l’existence, n’a cette année encore pas donné signe de vie. Sa disparition, le professeur de français s’en rappelle encore comme si c’était hier.

Un gars comme ça, jm’en rappellerais toute ma vie, bordel qu’il était con.

« C’était en printemps, le gars est arrivé de nulle part dans ma vie aux recoins d’un cahier de cours que j’avais encore à l’époque, puis il a commencé à hanter mon quotidien et mon existence toute entière. Ce jeune là, je l’ai pas connu longtemps mais je me suis promis de lui laisser une place de choix dans les cours que j’écris. C’est de là qu’est venu la célèbre phrase mais où est donc or ni car, une façon pour moi de le garder en moi pour le détruire et détruire la vie des autres avec son nom. « 

Mais qui était donc cet ornicar ? Le professeur n’ose pas le mot « petit ami », mais ils auraient eu une liaison homosexuelle, et Ornicar lui aurait brisé le coeur car il aimait pas les « gros cons prétentieux de prof de français de mes deux. » Encore aujourd’hui, le professeur n’ose pas à prononcer ces mots qui une détruit une partie de son passé d’adolescent.

Depuis lors, plus aucune trace d’Ornicar, envolé.

Mais, malgré le peu d’espoir, le professeur de Saint Chély D’apcher garde espoir de le revoir un jour, dans un avenir espère-t’il proche. « Je vais bientôt mourir, j’ai envie que lui aussi. » a-t’il expliqué, non sans émotion. C’est tout le mal que nous lui souhaitons.

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