Dans les rues vides de Paris, un jeune snapchatteur a aperçu au loin une petite silhouette frêle marchant contre le vent avec discrétion et agilité. Ce petit homme si discret, marchant plus vite que marcheurs un jour de chasse ou marcheurs un jour de start-up meeting, ce n’était autre qu’Éric Zemmour, le polémiste raciste anti immigration d’origine algérienne.

« Je ne comprends pas que maintenant, moi, polémiste défraie la chronique. Je n’ai rien fait qui mérite d’être craché dessus et insulté dans la rue hormis avoir craché sur l’immigration depuis presque 20 ans et insulté les personnes issues de l’immigration à moulte reprises alors que moi-même je suis un français de première génération. Enfin qu’on se le dise ce ne sont pas des raisons suffisantes pour cracher un sur homme digne comme moi. » a expliqué le polémiste polémique Éric Z.

Quand on fait polémiste, on accepte de faire polémique.

Pour l’homme qui a craché sur le polémiste, l’explication est simple. En tant que polémiste, il faut aussi faire polémique avec une agression anti-polémiste. « J’ai juste voulu le faire redescendre sur terre, un jour tu vis, un jour tu meurs, et on meurt tous un jour. Rien ne sert de se croire supérieur en crachant sur le peuple pendant des années s’il n’y a pas un jour un retour de bâton.  » a expliqué le jeune, serein quant à la polémique d’un polémiste désabusé.

« Là j’ai vu en plus Emmanuel Macron qui l’a appelé pour savoir s’il allait bien, frère c’est un mollard que j’ai craché, pas une balle hein ! Faut retrouver le sens des priorités dans cette France bordel. » a expliqué le jeune, énervé de la situation médiatique en France.

Nous espérons dans tous les cas que la polémique d’une agression politique anti-polémique ne gâchera pas la carrière d’Éric Zemmour, qui pourra toujours se reconvertir en homme politique pour laver son image en 2022.