Quand l’écologie prend une place fondamentale dans notre quotidien et que même les politiciens d’extrême droite proposent de faire un « tri sélectif » à nos frontières, c’est que le mouvement écologiste radical est allé beaucoup trop loin. Greta Thunberg, Nadine Morano, Rachida Dati, tant de grands noms de l’écologie se réunirons à Paris pour la grande marche pour le climat à Paris afin de présenter leurs idées pour un demain plus vert et moins arabe.

C’est dans cette mouvance ci que 5 angevins ont récemment fondé leur startup « Médusac », avec pour objectif simple de remplacer tous les sacs en plastique en circulation par des méduses d’ici 2025. Pourquoi ? Afin qu’il n’y ait plus de tortues qui mangent de sacs plastiques dans nos océans d’ici quelques années, et pour prendre de l’avance sur le futur.

Nous sommes avant tout des visionnaires qui osons ce que personne n’ose, notre prochain projet c’est des sacs poubelle en chat mort.

Damien, fondateur de Médusac

« Il faut comprendre qu’une course contre le temps est en face de nous, et que si on ne se magne pas le train maintenant, c’est demain que nous allons manger des cailloux et regretter d’avoir voté Francis Lalane pour député. Ainsi, on s’est magnés et on s’est dit qu’il allait sortir des méduses de nos océans pour en faire de totebags, car c’est chouette. Alors évidemment ça pique, tout projet n’est jamais parfait, mais l’avantage c’est que ça garde vos courses au frais et ça aide la circulation sanguine. » a expliqué le jeune créateur aux micros de Franche Bleue Normandie.

Même si ce projet n’est pas soutenu par Greenpeace ou encore radio courtoisie, il se veut très ambitieux en propulsant le premier député écologiste et ouvertement raciste aux Antilles, avec pour projet de remplacer les sacs plastiques par des méduses et les antillais par des métropolitains. Un projet de tri sélectif qui en froissera plus d’un.