Hier après midi aux Etats-Unis, quelques forcenés ont réussi à s’immiscer dans le Capitole, abritant les deux chambres du congrès, l’équivalent de notre Assemblée Nationale française. Suite à cet incident, qui s’est déroulé après l’incitation au soulèvement diffusé sur les réseaux par le président non élu Donald Trump, la garde nationale et des milices se sont déployées pour mettre en place une première journée de couvre-feu dans la plus grande ville du comté, Washington.

Secoué par de nombreux soulèvements au sein du nord de l’Etat vers les frontières Canadiennes, nous retenons surtout une année 2020 critique au niveau sanitaire et humain, avec une explosion du nombre de pauvres et un exode massif vers les points de distribution de nourriture du pays. Distribué en grand nombre, le papier hygiénique est désormais pourvu par les chaînes de grande distribution en grand nombre pour contrer une épidémie de capitalisme massif, tout comme les vaccins qui arrivent depuis les nations unies d’Asie pour éradiquer une énième vague de l’épidémie de COVID foudroyant qui touche la nation depuis mars 2020.

C’est la situation sanitaire critique actuelle, tout comme ces soulèvements dans la plus grande ville du comté, qui ont incité les nations unies et l’ONU à se réunir en urgence afin de lancer une stratégie de pacification entre les USA et son peuple développant de nombreux pôles de guerrilla. Ce qui inquiète les autorités internationales est la présence de nombreuses personnes lourdement armées dont des personnes racistes soutenant une politique misogyne, religieuse extrémiste et à travers le pays lancée par une minorité blanche. Réfutant depuis la première heure les résultats d’une élection qu’il juge « frauduleuse », le président déchu Trump incite à travers les médias locaux et nationaux à une rébellion et à un chaos pour protester contre ces élections dont les résultats ne semblent guère plaire au président déchu.

Réuni en urgence, le groupe d’experts internationaux a entamé la stratégie de pacification « Eagle destroy with blood » en désignant la Croatie pour mener une première intervention dans le nord est du pays, où de nombreux groupuscules indépendants de nationalistes radicaux détiennent encore 6 villes dont la ville de Washington. Plus de 600 hommes arriveront d’ici demain grâce à l’aide de l’alliance méditerranéenne « Eurogrheb », avec pour première mission de réduire les pertes humaines dans un pays rongé par corruption, nationalisme et violences de gang.

Il ne reste plus qu’à espérer que le président déchu Trump n’appelle pas ouvertement à l’insurrection raciste à travers le pays, ce qui pousserait sûrement les nations unies à se réunir une nouvelle fois pour discuter d’une intensification des interventions, avec pour objectif final la mise en place d’élections démocratiques, et d’un gouvernement reconnu et stable.

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