La nature est merveilleuse et reprend petit à petit ses droits grâce à l’épidémie de Cov-19. Voilà la constatation la plus positive que nous pouvons faire de cette première semaine de confinement où quasiment l’intégralité des habitants de France se retrouvent dans Fleury-Mérogis sans avoir commis d’autre faute que de posséder des mains et de se toucher 3600 fois en moyenne le visage par jour.
Nous devons aller de l’avant pour l’environnement.
PDG de Monsanto
Nous sommes enfermés, mais la nature elle, est libre comme jamais. Blaireaux, coccinelles et gros cons qui vont acheter du papier toilette se baladent gaiement dans les rues de Paris et de nos belles campagnes à la recherche de proies à attaquer et de reproduction frénétique. Dans ces circonstances, plusieurs départements dont la Savoie et la Haute-Savoie ont décidé également de faire un geste supplémentaire pour l’environnement en choisissant de relâcher des CRS qui étaient jusque lors maintenus en captivité et élevés à la caserne au sang du préfet qu’ils buvaient à même le sein.
« Ils ont grandi pendant plus de 22 ans ici, dans la caserne, et je les ai nourri et fait grandir comme si ils avaient été nos enfants en leur donnant des sangliers entiers au petit déjeuner et des féministes à tabasser pour le déjeuner, c’est leur pêcher mignon. Ca me brise le coeur de les voir partir, gambadant dans les champs librement après toutes ces battues de CGTistes qu’on a fait ensemble. » a expliqué le préfet.
Une trentaine de CRS seront relâchés samedi prochain à côté de la benne à ordures d’Annecy, vous pouvez librement venir assister au lâcher si vous vous dotez d’un bon gigot à leur lancer ainsi qu’un discours du maréchal Pétain pour les bercer dans leur course à la liberté.
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