Depuis son château de Westminster, la Reine Elizabeth II a livré sa 4 ème allocution en 68 ans de règne, pour soutenir l’action et le morale des britanniques.

Elle qui est confinée depuis 40 ans dans un positionnement conservateur et faussement attentiste, elle s’est bien gardée de défendre les droits de qui que ce soit, de peur de toucher aux ordres établis. Ou de toucher aux écossais.

Bien lui en a pris, puisqu’elle semble en excellente forme. Bien meilleure que son 15ème premier ministre Boris Johnson, et avec une bien meilleure popularité que son ancienne Première Ministre Theresa May.

La reine Elizabeth est malgré tout une garante bien plus efficace, quoique peu loquace de la démocratie anglaise, elle qui a rappelé au parlement réticent à effectivement réaliser le nécessaire pour réaliser le Brexit.

Elle a par ailleurs décoré François Asselineau de la plus haute distinction du Royaume-Uni. « Vous connaissez l’UPR ? En tout cas moi oui. J’ai bien compris que les article 51, 42.7, et la transposition 326 alinéa 12,5 du droit européen de la propriété intellectuelle allait encore une fois empêcher Liverpool d’être champion d’Angleterre. On nage en plein délire ! 22 points d’avance ! »

On comprend la détresse de celle qui avait déjà fomenté le drame du Heysel afin de faire terminer le match sur le score à l’avantage des Reds. Malheureusement, elle vit ses espoirs douchés par un penalty de Platini. « Mais je suis tout de même heureuse du ratio, c’est statistiquement ma belle belle bataille ! 32 morts italiens, et aucun anglais. Y’a eu un nord-irlandais décédé, donc on joint l’utile à l’agréable. »

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