La jeune Suédoise, militante écologiste internationale et personnalité à elle toute seule, a encore fait parler d’elle aujourd’hui, en plein déplacement aux Etats-Unis. Son ouvrage « Stop the paper but not the toilet paper please because its important » vient de paraître et elle en fait déjà la promotion lors de ses déplacements à l’international.

Le titre traduit du livre de Greta Thunberg est « Stop au papier sauvons la terre d’une mort imminente », et contient un manifeste enragé et très militant contre le gaspillage de du papier, et, en général, contre la déforestation.

« Lutter contre la déforestation et le gâchis du papier à mon échelle me paraît essentiel, la terre se meurt et l’âme des arbres part dans les tréfonds de l’enfer. Non sans rire c’est un livre pas mal disponible chez tous les libraires et sur notre site web, livraison gratuite partout pour un prix unitaire de 49€99. Le contenu, j’avoue je me suis pas foulé, il y a un peu de mes discours et le reste c’est un biographe payé au lance-pierre qui m’a fait ça, non mais prenez le 700 pages c’est cool. » a expliqué Greta Thunberg au journal le Figaro de ce mercredi.

La polémique fuse quand à deux problèmes majeurs dans l’ouvrage de Greta Thunberg. Tout d’abord l’usage du mot télécommande de plante page 160, qui désigne très précisément un objet qui n’existe pas encore, et qui pose la question de la drogue dans le milieu des auteurs de livres militants. Secondement, page 523 dans le 3ème paragraphe commençant par « J’ai parfois mangé le cul de ma gr[…] », nous avons décelé l’utilisation étrange de l’expression « reprendre du poil de la belette à corne morte » qui soit exprime le choit de l’auteure de passer par un traducteur à prix réduit, soit nous permet mieux de comprendre à quel point il est bien que les suédois restent en Suède pour manger du hareng dans le sauna d’un Ikea.

Finalement, nous nous sommes posés la question de la taille du livre de Greta Thunberg. En effet, pourquoi avoir choisi un format si succinct afin de témoigner d’un manifeste aussi brillant sur une cause noble comme le gâchis du papier en général. Nous aurions bien aimé avoir quelques pages en plus afin d’aborder notamment le problème des manifestes, livres prétendument engagés qui font souvent une taille dingue pour très peu de contenu. Nous restons sur notre faim.