Nouveau scandale au sein de l’Eglise catholique: un gigantesque réseau de pédo-criminalité vient d’être mis à nu grâce au secours des services secrets Russes.
Au premier abord, Kinder, cette application proposée par la Start Up franco-Belge du même nom à tout du classique site de rencontre. Il faut pour rejoindre cette communauté se créer un profil mettant en scène des photos et une courte présentation de soi. Une particularité: les données bancaires sont à fournir dès l’inscription, bien que l’installation de l’application soit gratuite.
Une fois ces premières étapes passées, il suffit de faire défiler les profils à la recherche de la perle rare. Pour faciliter la mise en relation, il n’est plus nécessaire que les deux partenaires se plaisent, ou qu’il y ait un « Match » comme c’était le cas sur Tinder ou Meetic. En effet, la communauté ecclésiastique une fois inscrite a la possibilité de rentrer en lien avec tous les membres de leur choix sans que ceux-ci n’aient à y consentir.
Parmis les critères de recherche, l’âge, le sexe et la localisation apparaissent. Il est cependant impossible de faire dépasser l’âge des profils recherchés au dessus de 15 ans. Par ailleurs, pas de tchat ou d’espace dédié à la discussion. Les membres sélectionnent directement les profils qui leurs seront livrés à l’endroit de leur choix.
Bien que les dénonciations de ce système aient débuté dès 2016, l’entreprise à pu se libérer de toute forme d’accusations en s’appuyant sur les principes de non engagement des plateformes de mises en relation.
En effet, selon l’avocat de Jérôme Friedriech, l’un des deux starteupeur à l’origine de ce site « ils n’ont jamais cru faire le moindre mal, eux n’ont fait que permettre à tous ces jeunes enfants dans le besoin de rencontrer des personnes souhaitant prendre soin d’eux », avant d’ajouter l’air narcois « et si en plus ça leur a permis de rencontrer Dieu, je vois pas quel est le problème »
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