L’UNESCO et l’ONU se sont retrouvés hier au parlement suédois afin de décider du classement ou non de la ligne 12 du métro comme espèce en voie de disparition.

Après plus de 12 pétitions toutes émanant d’une boutique de farces et attrapes située en bordure de la ligne 12, l’ONU et l’Unesco se sont hier réunis afin d’étudier le cas du métro parisien.

Il est bon de savoir que c’est l’unique spécimen encore vivant d’un espèce contenant autant de saleté que de frotteurs et de contrôleurs. Il convient alors de protéger l’espèce et de les faire se reproduire entre eux pour que les enfants de nos enfants voient un jour des métros rouler à Paris.

Hansinahgh Matechth

Soutenue par 67 votes sur 23, dont notamment ceux de la famille dirigeant le magasin de farces et attrapes, la décision a donc été prise de classer l’espèce en tant qu’espèce en voie de disparition. Mais, cette décision ne fait pas que des émules, en effet ce sont hier plus de 5000 conducteurs de métros de la société RATP qui se sont réunis en signe de protestation.

« Cette espèce, nous l’aidons à survivre depuis des décennies, eux à l’ONU et l’Unesco ils veulent la faire survivre en la rendant automatique, faut que dans ce cas là, c’est nous qui devenons une espèce en voie de disparition. Nous étions jusque là en position de symbiose avec le métro, nous le dirigeons et il nous fournit un travail et en échange nous en prenons soin. » a expliqué René, inquiet pour son emploi.

Avec le classement en tant qu’espèce en voie de disparition, de nombreuses mesures seront prises pour protéger la ligne : automatisation, rénovation et licenciements pour arrêter les coupures liées aux grèves. Comme quoi le malheur des uns, fait le malheur des autres.

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