Les jeux-vidéo rendraient super sympa, montre une étude 

Une nouvelle étude hollandaise vient contredire des années de croyance que les jeux vidéos seraient vecteurs de violence et d’énervement auprès des enfants.

D’après cette étude, les jeux vidéos surtout les plus violents, seraient vecteurs d’amour chez les enfants.

Docteur Stojknen

Une étude ainsi menée sur plus de 59 enfants d’origines différente, soumis à des jeux vidéos ultras violents, a permis de montrer que les images choquantes développaient chez l’enfant un sentiment de demande d’amour et d’attention énorme. « J’ai joué à Call Of et ai tué plus de 700 personnes en une demie journée de jeu, et pourtant là j’ai juste envie d’un câlin et que qu’un s’occupe de moi. Les jeux vidéos ne sont qu’une échappatoire de ma vie de tristesse et de mes parents qui ne s’occupent pas de moi, j’ai besoin d’amour juste d’amour et qu’on pense à moi. » nous a partagé Jordan.

Sur les 59 enfants interrogés avant et après, 48 se sont dit en manque d’amour, et 36 en manque total d’attention, effet qui a été développé par le jeu vidéo en question. « Les images violentes appellent l’amour, tandis que les images d’amour poussent à la violence, comme on a pu le voir avec la génération pokemon, petit cheval sur nidendo et professeur layton, ces jeux ont créé une génération de violents décérébrés qui poussent le RN en tête aux européennes. La nouvelle génération est demandeuse d’amour et de tendresse, la violence objective de Fortnite est la preuve d’un manque d’attention dissimulé par la danse grotesque que les enfants jouent en boucle. »