Ce gros bollos de Bas-Rhinois est resté coincé au temps des chevaliers, malgré des tentatives de prise de conscience lancées par ses collègues, exaspérés par cette protubérance capillaire sale et peu à la mode, refuse toujours de se couper les poils de tête.

Le suspect a été incarcéré hier dans une cellule spécialement adaptée à ton handicap si particulier, un interprète sera là aux interrogatoires pour traduire ce que dit l’homme au mulet, parlant uniquement en beauf.

On a du mal à comprendre tout sans interprète.

Christophe, un témoin


Il faut savoir qu’au moment de son interpellation, les policiers ont pris le temps de mettre des gants en titane pour éviter de se contaminer avec cette maladie si rare, dont il faut savoir que l’épidémie a commencé dans le nord de la France (ndlr comme l’inceste et la fellation parentale),un simple contact avec le cheveu gras eu beauf suffit à se contaminer. Les premiers gestes en cas de contamination sont de porter des claquettes avec des chaussettes, d’acheter un Nevada ou encore de supporter le Paris Saint Germain alors qu’ils sont nuls. Il faut agir vite, l’épidémie est en pleine expansion en France métropolitaine, à noter que le département du Haut Rhin est épargné.


Les gestes à retenir : porter des gants, s’éloigner des beaufs, ne pas les toucher, ne pas les sodomiser par mégarde (contamination possible par le mulet du bas), porter des lunettes de protection pour éviter les crachats de Beauf (risque de cécité).


La campagne de vaccination mise en place par la ministre de la santé Josiane Guérirapa est pour le moment un échec, alors qu’aujourd’hui plus d’un enfant sur deux est atteint de la maladie de mulet.

Pire que le coronavirus, ce virus ne tue pas mais contamine à vie.

Josiane Guérirapa

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