Eric Zemmour, né dans la ville populaire de Montreuil et issu d’origines diverses, il est l’exemple parfait d’une assimilation réussie. Cet ex-potentiel-président aime se faire remarquer avec différentes interventions médiatiques concernant la colorimétrie des personnes se déplaçant en Europe et en dehors de cette ci.

Expert en reconnaissance des origines raciales, sextuple gagnant du championnat Essonne Racial Guessing, Eric Zemmour a su se faire une place comme l’élite du racisme francophone (hors Drom Tom) malgré que la compétition est dure.

« Être le premier raciste de France est un exercice de tous les instants, de chaque seconde. Comme par exemple mon café, et bien j’évalue son origine raciale. Mon café filtre par exemple a la couleur que j’appelle Congo/Togo. Togolais ou café, c’est mon jeu préféré. C’est une donnée très précise qui m’a value aussi le prix du concours caféo guessing. »

La concurrence se fait malheureusement de plus en plus dure pour le premier raciste de France Eric Z. En effet, de nouvelles écoles émergent pour former ce qui sera l’élite du racisme de demain, voulant « donner un aspect encore plus systémique, voire sytématique au racisme » en poussant chaque élève à donner le pire de lui même.

L’école Racist droitard school of excellence (RDSE) basée à Angers par exemple, forme cette année sa première promotion d’élèves qui viennent des quatres coins des pays de la Loire. Humiliation, comparaisons animales, négrophobie, négation de la systémicité du racisme. Tout y est enseigné pour que les élèves en repartent changés, prêts à affronter le monde du travail.

« On sait que tout le monde n’aura pas sa place dans l’échiquier du racisme Français, mais il faut tenter et avec un peu de chance on peut tout de même devenir conseiller municipal voire même potentiel perdant à la présidentielle. On l’avoue ça nous fait tous un peu rêver c’est clair. » explique Amaury, raciste.

Garder sa place est donc maintenant un vrai enjeu, il n’est plus impossible de se faire relèguer aux rangs de conseiller municipal alors qu’on était potentiel président de la république. « J’ai le seum oui, et oui c’est un mot arabe » se désole Eric Z.

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