Quand on crie au scandale écologique, on oublie souvent les conséquences positives que le réchauffement climatique ainsi que le plastique dans nos océans peut provoquer autour de nous. Ainsi, le scientifique russe Dobolov Platici a réussi à mettre en exergue le lien entre l’hyper-activité des tortues ces derniers temps, et le fait qu’elles possèdent toutes désormais une paille dans le nez.
On ne dit pas que c’est forcément que de la coke qu’elles sniffent, mais en grande partie.
Dobolov Platici
« Notre étude a porté sur les plages de la côte Atlantique, où les balots de coke sont récemment apparus de façon étonnante. Nous avons remarqué une augmentation significative des rave party sous-marines qui sont le témoignage de leur consommation de coke, enfin on le suppose. On a même détecté des preuves d’une émission présentée par Thierry Ardisson, diffusée à tous les animaux sous-marins non dotés d’intelligence du style crustacés ou méduses. » des révélations, qui ont ému le milieu scientifique, en particulier Patrick Sébastien.
Faire tourner les serviettes plus vite pourrait résoudre le réchauffement climatique.
Patrick Sébastien
Les tortues handicapées seront dès le début de semaine prochaine prises en charge par le foyer de prise en charge des toxicomanes marins, basé à Strasbourg et traitant chaque année plus de 600 personnes partout en mer, les aidant notamment à vaincre leur dépendance au sel.
« Grâce au centre Monsanto, j’ai réussi à guérir ma dépendance au sel, mais j’ai développé une forte addiction au capitalisme ce qui ne m’aide pas à survivre en milieu hostile, acheter une paie de baskets de merde fabriquée par des gosses plus petits que moi pour guérir ma quête de reconnaissance sociale n’a jamais sauvé personne. » a expliqué une tortue marine, interrogée par nos soins.
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