Des experts en histoire et en consommation de l’université de Stanford en Californie viennent de faire une révélation qui compte bien faire bouger les lignes des livres d’histoire.

C’est en examinant avec minutie les manuscrits qu’a laissé Adolf Hitler après lui, notamment ceux de Stuttgart et de Dachwiller, que les scientifiques ont noté la présence énigmatique d’une boisson auquel personne n’avait fait attention. Dans son journal intime, alors qu’il n’a encore que 17 ans, il écrit :

« Ma mère m’a fait goûter une boisson aujourd’hui, qui, bien qu’elle m’ait fait oublier mon échec cuisant à cette satanée école de peinture (que je méritais soit dit en passant), m’a fortement frappé sur le haut de la tête. La douleur a été immédiate et, lors de mes premières hallucinations, les redescendes à la réalité étaient difficiles. C’était ma tante Frida qui m’avait donné cette boisson, dans un verre plein de glaçons. « On boit ça en France dans le sud m’a t-elle dit » « 

C’était la première fois qu’il avait expérimenté la boisson, et, quelques mois plus tard il retenta l’expérience.

Un des manuscrits de Stuttgart du jeune Adolf, 1922

« C’est devenu en quelque sorte une drogue, cette boisson a révélé le démon qui se cachait en moi. Le goût est ignoble et la froideur me glace les dents, je crois que j’ai envie de faire la guerre. Que celui qui a inventé cette boisson soit placé au rang d’empereur ou de diable, mais qu’on lui fasse quelque chose. J’ai des projets pour l’Allemagne. »

Si les liens entre cette boisson et les actions du dirigeant allemand ne sont cependant pas tout à fait clairs, les documents étant écrits en allemand et les chercheurs n’étant pas bilingues, des erreurs de traduction entre  » pamplemousse » et « déportation » peuvent avoir été faites.

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