Premier producteur au monde de produits phytosanitaires, Monsanto est le géant des semences et herbicides utilisés dans le milieu agricole ayant récemment défrayé la chronique pour quelques gauchos qui gueulent car ils ont perdu leur pied. Herbicides, fongicides, ces productions de Monsanto sont les plus connues du grand public. Cependant, ce que moins de monde sait, c’est que Monsanto produisait depuis 1967 des produit féminicides, avec pour but par exemple pour les grandes firmes, d’endiguer la montée dans l’échelle hiérarchique des femmes.

Ces produits avaient juste pour objectif d’apaiser les femmes et de les maintenir dans des états seconds.

Jacques Dumont-Santo

« Ainsi, nous avons produit ces substances telles que ET6788 et ET6789, qui sont les deux prétendus féminicides, de 1965 à 1967. Facilement dissouts dans n’importe quelle boisson féminine tel que thé chai ou encore cappuccino, les effets arrivent sous 48 à 50 heures en général, menant tout d’abord la personne dans un état second, puis diluant du chewing-gum dans les ovaires de la personne pour lui faire croire qu’elle est dans une emission de Cyril Hanouna. Puis, sous 2 à trois jours, elle choisit d’elle même de rentrer au foyer et de s’occuper des enfants et de la purée de courgettes, laissant ainsi une place à l’homme. Ce produit n’a aucun effet sur l’homme, hormis faire sentir fort des aisselles, ce qui dans 89% des sujets est déjà le cas. » a expliqué Jacques Dumont-Santo, directeur de la firme appartenant désormais à Bayer.

Ces produits, plus souvent connus sous les noms de Famostilax et Gonzostilnox, et commercialisés le plus souvent uniquement aux patrons des grandes firmes, sont désormais critiqués dans l’enceinte même de l’assemblée nationale. « Nous ne souhaitons pas qu’une firme qui nous invite à des déjeuners de lobby distribue des produits féminicides, bridant l’évolution sociale des femmes, d’autant plus que je vous dis ça en tant que femme, qui plus est femme qui a participé à ces déjeuners de Monsanto réservés aux femmes et avec boissons illimitées. » a expliqué, non sans agacement Judith Delbros, députée des Alpes Maritipes et rapporteuse de l’enquête « Femmes aux fourneaux, le monde est plus beau ».

Tiens, et si je rentrais à la maison ?

Judith Delbros

Une enquête préliminaire du parquet de Brest concernant les moules de Bouchot est en cours, ce qui n’a aucun rapport avec Monsanto et leurs produits, mais permet tout de même de se rassurer en se disant que la justice ne marche pas sur la tête.

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